27 nov. 2012
23 nov. 2012
30 oct. 2012
6 oct. 2012
Едкая - чай
Acte 1
Scène 1
X - Humanité
Z - Humus
X - Valses insensées … Humeur lascive.
Y - Comprimée par les limites du corps.
Z - Corps pourtant si vide.
Z - Cupide ?
Y - Je ne dirais pas cela.
Z - Candide ?
X - Moi ? Peut-être. S’il y a un alpha il y a un beta. S’il y a un
phi, il y a un pi. De même, s’il y a les ténèbres…
Z - … la condensation
X - il existe la lumière
Z - … extension
X - Se rapprocher…
X - Se rapprocher…
Y - Reprocher ?
X - Av…Tant pis. Je suis fatiguée.
Z - Vibrations et respirations haletantes sans excitation.
Y - Monochrome incolore
Z - Sombre lueur transparente
Scène 2
X - Unité diversifié
Y - Psychodiversité
X - (face au publique) Parfois, mon corps semble vouloir s’échapper. Un
peu comme s’ils avaient un besoin viscéral de partir en vacances…
Z - Alors manges-les ! (cri, en sursaut)
X - (comme si de rien n’était) … on dirait qu’ils sont sensiblement reliés à mon
corps par un épais et malléable lien rougeâtre capable de vitalisation
Y - La dynamique des flux
X - Connexions inévitables
Z - Recevable. (silence) Inclut ! Exclu ! Qu’est ce qu’on peut bien y
faire ? Tous. Tout. Aucun. Rien !
X - Lumière
Z - Au goût de poivre.
Y - Le rêve
X - L’exil
Z - Le processus créatif
X - Le besoin
Y - Celui qui vous ronge le ventre
Z - Comme si une multitude de p’tites bestioles grignotaient vos entrailles. Non pas pour se
loger dans la chaleur de la chair endolorie. Mais pour reformer le vide qui
crée comme détruit.
Scène 3
X - L’expérience hors norme
Z - Norme ? Pathétique ! Vois. Vois la globalité.
X - Je ne savais pas.
Z - Un cercle immense peuplé de flux dont seule l’extrême dynamique est
concevable.
X - Oh…
Y - Ou l’hypothèse d’un système de pensée vain
Z - Géométrie superficielle
X - Nous aurions pu déchiffrer le message
Y - Quelle importance donné à l’espoir ?
Z - Le même qu’à l’être
X - Qu’est ce que l’espoir ?
Y - Qu’est ce… hum… espoir… une pratique expérimentale. Je
crois.
Z - De toute façon y’a rien à voir de politiquement incorrect entre les
jambes de Barbie donc elle va pas s’farcir une culotte.
Y - Etude sociologique ?
Z - Constat fataliste.
X - Cachette.
Y - Ou bien masochisme !
X - Tout simplement (ton gai) --- Des petites billes qui s’évaporent…
X - Lueur…
Y - … tamisée
Z - Génération cyclique. Jamais de renouveau. C’est la merde !
Y - On ne s’en sort pourtant pas dans la marginalité.
Z - Tous étrangers. Tous différents. Tous les mêmes.
X - A quelques degrés près.
Y - C’est cela.
Acte 2
Scène 1
X - Les repères….
Z - … l’éphémère.
Y - Un nouvel air
X - L’air des païens résonne (chante)
Y - L’héritage babylonien s’émancipe…
Z - Des cercles blancs humains
Y - Au quartres coins de l’univers
Z - Tous unis par la perdition
Y - Reliés subjectivement
Y - Au prologue se formèrent des êtes mutants, comprenant des formes
humaines et animales, piégés par leur destin. Aveugles et envenimés. Ils se
transcendent à l’infini, nés d’un œuf vide, circulaire, tridimentionellement
parfait.
X - Les mythes et les rites forment des rythmes
Z - Où l’évolution de la conscience vers la création
Y - Telle une accélération vertigineuse
Z - Menant aux possibilités infinies
Y - Auxquelles je réponds par l’expansion de l’introversion.
X - Tension ?
Z - Torsion.
Y - Ressentir
une foi intense, sans savoir pour autant à quelle religion elle se rattache…
Autant un besoin de compréhension comme un besoin de repère…
Z - Je pense que tout s’est formé par la putréfaction d’un petit tas d’humus. Un
magnifique tas de moisissure qui se développa sous de douces mains blanchâtres
pour créer notre terre. Mais aussi que l’évolution se poursuit pour arriver à
son état de pureté. Une sphère où une foultitude de flux dynamiques
tourneraient dans divers sens et à une vitesse fulgurante. Flux sans
commencement ni fin, hors du mental, simplement dans un entrain primitif et
pure. Éclats lumineux d’une magnificence sans nom.
X - Au delà du stade des hommes, au déjà du stade de la technologie.
Y - Mais comment
ritualiser nos idées dans une croyance qui dépasse notre existence? Simplement
et humblement?... Je ne veux pas remercier, mais seulement reconnaître.
Scène 3
Regards livides
Blafards
Fantomatiques
... Casiment transparants
L'intérieur, l'esprit est perdu... mais pas la foi.
Sarcastiques discours focalisés sur les têtes glacées.
La tragédie de l'oubli tandis que les globes occulaires des petits poissons rouges s'émanent de leurs orbites.
Ptits pousses d'herbe par terre... Mais que diable faitent vous ici?
Dans les eaux troublent, des petites choses gigottent
... et croupillent de la même manière.
Egorger. Couper. Coupez!
... quoi?
Rien.
Vide.
Ni obscur ni clair.Vraiment rien.
Sans couleur ni incolore.
Parce que tu voulais une couleur ou... ?
C'est futil la couleur. De même que la matière.
Examen de la conscience et y écrire ce que l'on voit.
Le formol je veux dire... les organes en tout cas.
Putréfaction.
Ah...
Ah..?...
Ni ... Mal,,,
Y- Sale pécheresse.
Z- Adorable pécheresse. Tout est apesanteur et divin.
Y- M'as tu détruite?... [silence] Soi.
Z- Spectacle déprimant.
X- Tout coule. Plus ou moins lentement. Bam! Bam! Bam!
Z- Talalatamtam
X- Le silence tue. Mais le bruit tue aussi!
L'absence.
La composition.
L'iris au blanc.
Providence?
X - Ecrire sur un dos n'a rien d'innocent.
Z - Le language du monde. 1. 3. 5. 6.
X - Tu révises?
Z - Ta gueule!
Y - Taxidermie de masse.
X - Allez là!
[silence]
X - Abandon.
Y - Vide.
Z - C'est cool.
FIN
26 août 2012
10 août 2012
Vent d'norouêt
♦ Démonstration illustrant l'inculture en terre normande_
Les joueurs de cartes, de Paul Cézanne (1892) ... sous le brouillard.
Impression, soleil levant, de Monet (1874) ... sous le brouillard
Un bar aux Folies Bergères, de Manet (1882) ... sous le brouillard.
Bal du moulin de la Galette, de Pierre-Auguste Renoir (1876) ... sous le brouillard.
Portrait du Docteur Gachet, de Vincent van Gogh (1890) ... sous le brouillard.
Baignade à Asnières, de Georges Seurat (1884) ... sous le brouillard!
2 août 2012
Untitled#01
"Untitled est une oeuvre puissante par laquelle raisonne le génie d'une nouvelle génération d'artistes préoccupés par le devenir de leur société." _ X
"Une belle illustration de la finesse de l'art conceptuel de notre temps." _ X
"Redoutablement efficace par la pureté et la poésie du geste." _ X
"... Frontal!" _ X
"Ch'é un bieau point!" _ Mamie bique hispanise-portugaise au cul ni vide ni saturé.
Ps: LOL.
"Une belle illustration de la finesse de l'art conceptuel de notre temps." _ X
"Redoutablement efficace par la pureté et la poésie du geste." _ X
"... Frontal!" _ X
"Ch'é un bieau point!" _ Mamie bique hispanise-portugaise au cul ni vide ni saturé.
Ps: LOL.
14 juil. 2012
17778-80-2
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silences traversés des Mondes et des Anges ;
- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux !
- Rimbaud
11 juil. 2012
10 juil. 2012
3 juil. 2012
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